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Aspen Cooper
Aspen Cooper
Jeu 20 Sep - 17:41

Un Gala, signé Tentation
Castiel and Aspen
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Une musique d’ambiance, des verres qui s’entrechoquent, des petits groupes de personnes biens fringués avec des accessoires de luxes. Aspen se trouvait actuellement derrière le bar où elle faisait son job de barmaid à un grand gala ou plusieurs célébrités et personnes importantes s’y trouvaient. Comment avait-elle atterrit-là ? Tout simplement parce que le bar le plus réputé de la ville, le Lagoon Red, avait remporté le contrat pour la soirée. Franck, le patron, ne venait que par moment pour s’assurer que tout se passait bien pour ses employés avant de retourner au bar qui était également ouvert.

Ainsi, Nate et elle s’occupait du bar, pendant que les serveurs et serveuses se baladaient entre les invités. La demoiselle était vêtue d’une petite jupe noire avec un chemisier blanc dont elle avait défait quelques boutons du haut et dont elle avait remonté un peu les manches. Au sol, on pouvait entendre ses talons claquer sur le marbre de la salle. Pendant son service, la demoiselle se faisait régulièrement draguer par quelques hommes de la soirée. Au début, elle évitait de rentrer dans leur jeux, jusqu’à ce qu’elle le vit LUI. Castiel Marshal. Le favori pour devenir Sénateur accompagné de sa femme.

Aspen avait le regard rivé sur lui, faut admettre qu’il était canon dans son costard qu’il portait à merveille, sa barbe était parfaitement rasée, laissant juste de quoi lui donner encore plu de charme. La demoiselle avait beaucoup de mal à détourner le regard de lui, mais quand elle fit sa femme l’embrasser, la barmaid n’eut à ce moment-là, aucun mal à le détourner. Pourquoi agissait-elle ainsi ? Tout simplement parce qu’elle avait une liaison avec lui depuis cinq mois. Oui, elle était la maîtresse d’un politicien, elle qui se fichait bien de la politique, elle risquait de se retrouver au milieu d’un scandale si cela venait à ce savoir.

Leur rencontre avait eu lieu au Lagoon Red. Comme à son habitude, elle s’était amusée à le charmer, comme n’importe quel autre client, sans se douter de qui il était. Mais, finalement, ils s’étaient charmés mutuellement avant de déraper après plusieurs soirs à se tourner autour. Depuis, dès qu’ils le pouvaient, ils se retrouvaient dans un hôtel ou dans son petit appartement. Quand elle a compris qui il était, s’était trop tard, elle en était mordue et elle avait accepté de rester cachée. Une maîtresse, barmaid, anciennement droguée, cela faisait tâche pour un futur sénateur.

Le voir avec sa femme et l’embrasser, la rendait malade, c’était pénible de voir ça. Aspen souffla un bon coup et se concentra sur son job après que Nate l’ait fait sortit de ses pensées. Elle se remit à bosser mais cette fois-ci, elle se laissait draguer et s’amusa à charmer ses clients en leur faisant les yeux doux avant qu’un homme ne lui prenne la main pour lui faire un baisemain et lui laissa son numéro. Après tout, elle avait bien le droit d’aller voir ailleurs, lui, il se tapait bien sa femme malgré qu’il l’avait elle. Pourquoi, elle n’en ferait pas de même et oui, elle agissait ainsi pour le rendre jaloux, elle aimait le voir possessif envers elle, voir son regard s’assombrir quand un homme s’approchait d’elle, voir sa mâchoire se contracter, sachant qu’au final, il la prendrait violement pour la faire crier de plaisir.

- Ça va ? Lança Nate en la voyant pas vraiment dans son état normal.
- Quoi ? Bien sûr ! Cesse de tant faire pour moi ! Les clients et clientes, sont ravis non ?!
- Avec deux canons comme nous, ils ont de quoi ! Répliqua Nate en riant, la faisant rire au passage et se remit à servir les clients et à discuter avec certains d’entre eux.

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by Wiise
Castiel Marshall
Castiel Marshall
Dim 7 Oct - 18:12


Un Gala signé Tentation

Aspen Cooper & Castiel Marshall

Les amants profitent de tout pour se rejoindre, se parler, et être encore quelques minutes ensemble. Il faut qu'ils se répètent, avant de se quitter, qu'ils s'aiment, qu'ils s'adoreront toujours, qu'une seule personne va désormais occuper toutes leurs pensées, qu'ils n'auront qu'un but, qu'un espoir, celui de vivre à jamais l'un pour l'autre. Ils se sont déjà dit cela cent fois ; mais en amour on aime à s'entendre répéter ce que l'on sait déjà, on veut l'entendre encore, on ne l'entend jamais assez ! ...

Je me réveillais dans la matinée avec un bruit sourd, de plus en plus fort, je grogne, la tête qui était affalée contre mon cousin, sur le ventre, la couverture qui était descendue au bas de mon dos, je posais une main sur le matelas, encore en somnolant, le lit était vide.« Emily?? » Je murmurais la gorge encore nouée, épuisée, le dos contracté, l’une de mes jambes sortait de la couverture, le bruit encore sourd qui vibrait sur la table de chevet près du lit qui retentissait de nouveau, d’une main libre, j’essayais d’attraper le réveil matinal, qui je fais tomber par accident avec mon coude, et qui se fracassait sur le sol en morceaux. D’un oeil je fixais la place vide près de moi, la vue encore floue, je passais une main dans mes cheveux en bataille, je me redressais lourdement sur le lit, qui s’alourdissait sous mon poids, j’attrapais la télécommande près du lit et j’allumais l’écran plat qui était posé contre le mur, juste au dessus de la cheminée, les informations passaient en boucle ma vidéo pour la course au sénat. «Encore, super... »Je me raclais la gorge, tellement à bout, épuisé, je remarquais que mon téléphone portable s’éclairait à plusieurs reprises, un sourire malicieux sur mes lèvres, malgré mes cernes sous mes yeux, je tendais la main en appuyant sur le bouton du téléphone où s’affichait une photo très coquine, en porte-jarretelles d’Aspen, sur son lit, allongée. L’ombre d’un sourire très provocateur sur mon visage, je glissais ma langue sur mes lèvres, dû aux souvenirs. Je me levais en laissant tomber la couverture au sol, je m’avançais déterminer vers la commode en ouvrant alors pour attraper un string en dentelle, l’odeur qui se dégageait me plaisait, chaque muscle se contractait durement au souvenir de son odeur, ses lèvres, ses hurlements, le tissu dans ma main que je froissais entre mes doigts, d’une main je pose sur la commode, l’autre tenait entre mes doigts le tissu de son string, mon pouce se glissait sur les reliefs de la dentelle noire déchirée, la ficelle qui s’enroulait entre mes doigts, je humais son odeur. Mon souffle s’accélérait rapidement, mon torse se soulevait, chaque détails de mon torse qui était contracté, tendu, soulignant à la perfection ma musculature, mon sang bouillonnait par le souvenir de ses ongles sur mon torse, je passais alors une main sur les griffures encore bien présentes, sous un simple pansement que je cache envers ma femme. « Castiel... » J'entendais une voix presque essoufflée, si fatiguée, je détournais le regard, en cachant le string dans le tiroir brusquement, l'air très impassible, je la fixais simplement, elle dégoulinait de sueur, les cheveux attachés en queue de cheval sur les côtés, les joues rouges, gonflées, sa poitrine se soulevait contre son soutien-gorge de sport noir, me regardait en se mordillant la lèvre, s’avançait très timidement, ses yeux pétillants de malice. « Ça fait très longtemps... » M'avouait-elle presque comme un aveu, d'un oeil, elle ne loupait pas les détails de mon torse, savourant la vue, le rythme cardiaque de Emily s’était accéléré, s’approchait tendrement sur la pointe des pieds, la voix plus chaude, si sexy elle se mordillait dangereusement la lèvre, ses yeux glissaient brûlant sur mes muscles, posait ses mains chaudes sur mon torse, laissant ses ongles appuyés, plus pression, son visage changeait totalement cette lueur dans son regard s’embrassait brutalement, ses lèvres s'entrouvaient, si fines, gonflées, je fermais les yeux, mon torse se soulevait plus rapidement par le désir, Emily vient écraser ses lèvres si douces, si terriblement chaudes sur mes lèvres sous un gémissement qui sortait de ses lèvres, elle semble désespérer d'avoir de l'affection. Je suis comme figer sur place, mon corps entier était si rigide, mes lèvres se crispaient durement. « Mon amour ... » La voix de celle-ci inquiète, qui résonnait au timbre de ses lèvres, sa main viennait caresser avec hésitation ma joue, j'ouvrais les yeux, je lisais de la déception, qui s’affichait dans son regard, de l’inquiétude, un peu de panique aussi, la peur qui l’envahissait. Emily toujours en sueur, je l’a fixais sans aucun mot qui sortait de mes lèvres, mon coeur restait braqué, serrant dans mon torse, cette impression de tromper qui m’écœurait vivement, j'avais pâlie en une seconde, mon visage s’était braqué, les traits tirés devant une Emily totalement anéantie qui renonçait, alors passait près de moi, ses cheveux devant mon visage, elle était déçue, si brisée, je ne pouvais pas. Aspen m’obsède tellement au moment où ma femme m’avait embrassé, le goût de ses lèvres étaient si fades, aucun goût, ni même excité, mon corps entier l'avait rejeté. Presque d’un dégoût. «Emily... » Je lâchais d'une voix qui était étouffée par la culpabilité, celle-ci se tournait en s’asseyant sur le lit, les yeux remplis d'eau qui coulaient sur son visage avec une telle lenteur « Je suis vraiment désolé... » C’était sorti comme un aveu, la vérité, j'étais vraiment désolé, cette pensée me faisait perdre mes moyens, m’affaiblissais, j’en aimais une autre, c’était elle que je voulais. Je me sentais tellement mal à l’aise, comme un enfant devant elle qui me fixait si attendrissante, me souriait chaudement en me tendant la main, me demandait de venir s’asseoir près d'elle. Je restais silencieux, assis sur le lit, la piece était vraiment sous tension, très lourde à la fois, je cambrais mon dos, je fixais longuement la télévision sans prononcer un mot, incapable. Je l’entends murmurer au creu de mon oreille, qu'elle m'aimait tellement, je prenais l'air dégoûté, c’était affreux, mon visage se crispait, mes doigts s’enfonçait contre la couverture qui recouvrait le lit, mes mains s’appuyai contre le matelas, elle passe une main sur mon dos, me murmurait que c’était presque l'anniversaire de la mort de mes parents. Je ne disais plus rien comme livide, je l’a fixe longuement étonné, elle se penche pour m’embrasser tendrement sur les lèvres, le goût était si froid, sans aucune saveur. Je gardais les yeux ouverts.

Une fois au Gala, je remarquais pas mal de personnalités qui s’approchaient pour me dire qu'ils me soutenaient, même le maire de la ville qui semblait être vraiment très fier de moi. Des banderoles partout sur les murs à mon effigie, mon prénom, des cartes déposées sur la table près du bar. Au loin je remarquais Aspen, putain elle vraiment bandante, je détaillais sa chemise mon regard s'enflamait brutalement, cette jupe! C’était vraiment très sexy, dévoilant ses longues jambes, je ne l’a quittais plus du regard malgré la voix presque lointain d'Emily qui tenait ma main, enlaçant nos doigts, je suis incapable de lâcher d’une seconde Aspen, elle était si ravisante, elle me fixait aussi un long moment, je lui souriais en fixant juste à côte d'elle, un homme qui osait frôler sa jupe, mon regard s’assombrissait de plus en plus en cachant la moitié de mon visage, mes lèvres remuaient dangereusement. L'homme qui s'approchait avec un oeil détaillé sur les fesses d'Aspen en buvant son verre, un pas sèchement pour m’approcher, hors de moi, mon torse se soulevait, imposant en affichant totalement ma musculature. «Castiel... mon coeur... » Mon souffle devenait plus lourd, mes yeux encore plus assombrit d’une noirceur presque envoûtante reflétait totalement mes sentiments, Aspen le remarquait vivement, mon corps entier brûlant, tendu, les veines de mon cou gonflaient rapidement de rage, Emily s’avançait morte d’inquiétude en me fixant longuement, incapable de savoir ce qu'il  m’arrivait, elle tente de me demander, presque en suppliant du regard, la froideur qu'elle lisait dans mes yeux l’a déstabilisait totalement, elle veut me toucher pour me calme, mes muscles sont presque tremblants, mon souffle irrégulier, si profond. Les applaudissements qui résonnaient dans la salle pour m'acclamer, Emily se penchait très hésistante, presque paniquée, m'embrasse à pleine bouche, ses mains s'agrippent contre la veste de mon costume bleu, mes yeux s'ouvrent supris, les lèvres entre nous, son souffle plus chaud et tendre, au goût très sucré, sa main se posait sur ma joue, ses yeux avaient cet air angoissé, si amoureuse. « Monsieur Marshall ou plutôt le future sénateur... » S’écrie alors le père d'Emily accompagné de l’ancien sénateur qui s’avançait dans la foule, avec leurs femmes aussi. Je restais très impassible face à eux, les traits de mon visage moins tendus, les fils de l’ancien sénateur n’arrêtaient pas de fixer longuement avec envie une femme près du bar, en pariant en essayant de deviner la taille du soutien-gorge, en rigolant comme des idiots. Puis l'un d’eux s'approche d'Aspen en lui prenant la main pour  l'embrasse, je soufflais exaspéré sous les rires presque amusés du père d'Emily et du sénateur. Emily restais près de moi, suivant mon regard sur Aspen, mon calme glaciale l’inquiétait totalement mais ne le montrait pas devant son père, détaillant chaque gestes chez moi, mes lèvres, mes yeux qui se dilataient, mon souffle plus calme, mon air si détaché aussi, je lui fait un sourire forcé. Aspen jouait je le voyais bien à son regard, c’était de la provocation de sa part, notre jeu regard, elle prenait le numéro de l'autre sous mes yeux, je ne réagissais pas, c’était déstabilisant pour moi de rester si calme, elle pouvait lire le dégoût, de la rancoeur qui se dégageait, avec une amertume envers elle. Elle aimait me provoquer et je le savais, je ne pouvais pas détourner mon regard malgré tout, ce dégoût qu'elle lisait dans mon regard, je laissais rien paraître, je détournais mon regard brusquement vers les tables et j’avançais d'un pas très lourd vers notre table au millieu de la salle, cette image me hantait, d'Aspen entrant dans le jeu de l'autre pourrie gaté
Aspen Cooper
Aspen Cooper
Sam 20 Oct - 12:12

Un Gala, signé Tentation
Castiel and Aspen
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Aspen savait parfaitement que Castiel était jaloux et possessif, elle l’avait déjà vu à l’œuvre dans son bar quand un client la draguait et qu’il n’était pas loin d’elle. Malheureusement pour lui, il ne pouvait rien montrer en public, l’image oblige. Mais une fois en privée, combien de fois n’avait-il pas explosé en lui reprochant de laisser ses hommes la séduire. A chaque fois, la demoiselle ne s’offusqua pas de cette possessivité déplacée, quand on sait qu’il est marié, car elle aimait ça. D’ailleurs, souvent un sourire apparaissait sur ses lèvres avant de l’embrasser fougueusement et langoureusement pour ensuite finir par faire l’amour ou baiser contre sa commode, son mur, son canapé, la table de la salle à manger ou son lit.

D’ailleurs, lors de leur dernière nuit qui remontait à deux jours, elle lui avait glissé son string dans la poche de son pantalon avant son départ, afin qu’il ait quelque chose d’elle. Quand ils ne se voyaient pas de la journée, ni de la soirée, car malheureusement, il ne pouvait pas passer toutes ses soirées et ses nuits avec elle, elle lui envoyait des photos d’elle en petite tenue et parfois même des sextos, comme si elle tenait à lui faire regretter de ne pas être avec elle. C’était pourquoi, elle lui avait conseillé de mettre un mot de passe sur son portable ou d’en avoir deux, afin que sa femme ne tombe pas là-dessus.

Le jeune homme qui venait de lui faire un baisemain, s’était accoudé au comptoir du bar, la dévorant du regard.

- Vous m’appelez ma jolie, je compte sur vous !
- Vous savez, j’ai du succès ce soir, je verrais bien celui qui se hissera au-dessus des autres. Répliqua-t-elle d’une voix charmeuse.
- Mm.. Croyez-moi, vous ne serez pas déçue si vous me choisissez, puis… je pourrais vous donner un petit aperçu… Répliqua-t-il en approchant ses lèvres de son oreille, embrassant juste en-dessous de son oreille, alors que la demoiselle tourna discrètement son regard vers la table où Castiel se trouvait.
- C’est tentant… Mais je bosse. Vous devriez y aller d’ailleurs. Dit-elle en lui faisant un petit clin d’œil et le laissa pour préparer la commande des autres clients et remplir les plateaux des serveurs et serveuses.

La demoiselle savait bien qu’elle plaisait aux hommes, avec son boulot, elle ne pouvait que le constater et même si elle voulait donner une leçon à Castiel, lui montrer que d’autres lui tournait autour, elle savait très bien, qu’elle ne parviendrait pas à aller au bout avec eux, sans avoir l’impression de le tromper. Stupide n’est-ce pas ? Quand on sait que lui, il rejoint sa femme dans leur lit conjugal et dieu seul sait ce qu’ils font et ça la rendait complètement dingue. Pourquoi avait-elle donc dû s’amouracher de lui ?

D’un côté, elle n’avait qu’une envie, que sa femme découvre tout et divorce, afin que Castiel puisse être qu’à elle et à elle seule. Mais d’un autre, elle connaissait l’envie de son amant de devenir sénateur. Sans doute pour rendre fière ses défunts parents ? Car oui, il le lui en avait parlé. Ce n’était pas que sexuel entre eux, enfin en grande partit si, mais ils discutaient également. C’est pour cette raison, qu’elle ne l’avait jamais poussé à faire un choix, la laissant elle en amoureuse transit. Enfin, si on pouvait appeler ça de l’amour.

Le connaissant, elle savait qu’il devait fulminer en ayant vu ce gars si proche d’elle. Mais son épouse risquait de remarquer quelque chose et de se douter d’un truc. Encore une fois, pour son bien être à lui, elle arrêterait de draguer et sortit son portable rapidement hors de la poche de sa petite jupe et lui en voyant un texto :

« Rejoins-moi au fond du jardin. » Envoya-t-elle au futur sénateur et rangea son portable avant de regarder Nate.

- Bon, vu que cela semble calme, je vais fumer une cigarette dehors !
- D’accord. Après j’irais, car je pense qu’il y a une nana qui n’attend que ça. Répondit-il avec un sourire séducteur et porta son regard vers une jeune femme rousse qui se mordait la lèvre en le regardant.
- Fait gaffe, elle va te manger toute crue !
- Je ne demande que ça ! Répondit-il en riant avec Aspen qui secoua la tête.

Elle prit son sac sous le comptoir et en sortit une cigarette et son briquet avant de le laisser et partit vers l’arrière du bâtiment afin de sortir dans le grand jardin qui était parsemé d’arbres et de plantes. Ainsi, une fois au fond du jardin, posée derrière un arbre, personne ne les verraient et ils pourraient rapidement discuter, pas trop longtemps non plus pour pas que sa femme ne se doute de quelque chose.

En l’attendant, elle mit sa cigarette entre ses lèvres et l’alluma à l’aide de son briquet avant de le ranger dans la poche de sa jupe et passa sa main dans ses cheveux bruns mi-long, posant son dos contre le tronc d’arbre. Elle avait hâte qu’il arrive.

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by Wiise
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